« Quand on tue un serpent, il faut lui couper la tête » Dicton togolais « La nouvelle Afrique doit se définir par sa place dans le mond
« Quand on tue un serpent, il faut lui couper la tête »
Dicton togolais
« La nouvelle Afrique doit se définir par sa place dans le monde »
En date du 19 novembre 2019, j’ai publié un article intitulé L’AFRIQUE « DES DIRIGEANTS OFFSHORE ». Article où j’appelle, de mes vœux les meilleurs, l’attention de la Jeunesse africaine sur le nouvel ouvrage de mon compatriote Kako Nubukpo. En effet, dès le prime abord, cet ouvrage m’a considérablement séduit. Et, pour inciter le lecteur à en prendre connaissance, je me suis permis de reproduire, in extenso, le paragraphe portant le chapeau : « Des dirigeants offshore ». Lequel chapeau traduit une Dénonciation (!) radicale, globale, sans appel (!!!), de la quasi totalité des roitelets post et néo-coloniaux qui régentent l’Afrique actuellement.
Mais, parvenu au terme du livre en considération, je me trouve littéralement (!) admiratif de la culture et de la plume du Professeur Kako Nubukpo. Voilà pourquoi je tiens à couper la tête du serpent, à reproduire, ci-après, intégralement, la conclusion de la CONCLUSION : Des suggestions positives et concrètes !
Oui ! « L’Urgence africaine. Changeons le modèle de croissance ! », de Kako Nubukpo, fait sur moi un effet analogue à celui qu’avait exercé sur moi, en 1963, « L’Afrique doit s’unir », de Kwame (Francis) Nkrumah.
Donc, Bonne lecture !

[Cf. Kako Nubukpo, L’Urgence africaine. Changeons le modèle de croissance ! Ed. Odile Jacob, Paris, 2019, pp. 228-229]